dimanche 8 novembre 2015

les maux sociaux

les maux sociaux

Introduction

Commençons par une brève introduction sur ce que nous pensons «maux sociaux» sont tout. Selon le site Web populaire Ask.com, une définition de «fléau social» serait quelque chose comme ceci:
«maux sociaux sont des questions sont des questions qui, d'une manière ou d'une autre affecte les membres d'une société et est souvent considéré comme controversé ou problématique en termes de valeurs morales. Certains des problèmes sociaux les plus courants serait alcoolisme, le racisme, (enfant) abus, le crime organisé et les inégalités ".
Donc, fondamentalement, le mal social est tout ce qui peut être considéré comme nocif ou dangereux pour la société et / ou de la communauté. Prenons quelques exemples et déterminer pourquoi ils peuvent être appelés «maux sociaux».

Quels sont les maux sociaux?

Une des premières choses que vous pensez de quand il vient à des questions qui pourraient être préjudiciables à la société serait un crime. Le crime organisé est quelque chose qui se passe depuis des milliers d'années et sera très probablement continuer pendant des décennies à venir. Mais ce qui rend le crime organisé comme un problème social?
À en juger par la définition que nous venons de citer ci-dessus, le crime organisé peut être nuisible à la société de bien des façons. Tout d'abord, certaines formes de criminalité vont de pair avec la violence, qui peut être considéré comme une menace directe ou danger pour la société.
Les autres formes de criminalité organisée peuvent adopter une approche non-violente, mais ils peuvent causer des dommages aux personnes et groupes de personnes. Par exemple, une fraude bancaire qui a été délibérément tenu secret par les auteurs peut causer des dommages aux personnes qui ont déposé de l'argent dans la banque. Dans le pire des cas, la banque peut échouer et des milliers de personnes perdraient leur épargne durement gagné.
Comme on peut le voir dans les exemples cités ci-dessus, les maux sociaux peuvent se produire dans de nombreuses formes et être nuisible à la société de différentes façons allant de dommages physiques au préjudice financier, social et même psychologique.

Les types des problèmes sociaux :

 

Toxicomanie : Alcool et drogue

De tout temps, les substances psychotropes ont fait partie de l’expérience humaine. Par substance psychotrope, on entend toute substance qui agit sur le système nerveux central et qui influence la façon dont la personne pense, se sent ou agit. L’inquiétude suscitée par certaines substances psychotropes (alcool, drogues illicites, médicaments psychotropes prescrits) découle des multiples problèmes sociaux et de santé qui peuvent être associés à la consommation de ces substances.
Ce phénomène ne peut donc plus être abordé comme un simple problème de déviance ou de marginalité sociale et commande d’appliquer des actions multiples, variées et intégrées pour mieux prévenir, réduire et traiter les dommages individuels et collectifs qui sont associés à la consommation de substances psychotropes.

Agression sexuelle

Une agression sexuelle est un geste à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un individu sans le consentement de la personne visée ou, dans certains cas, notamment dans celui des enfants, par une manipulation affective ou par chantage.

Itinérance

L’itinérance revêt de multiples visages et présente un caractère complexe. Elle ne se limite plus aux milieux urbains et ne touche plus seulement les hommes adultes. Ce phénomène concerne non seulement les personnes sans domicile, mais aussi celles qui présentent de hauts risques de désaffiliation sociale. L’aggravation et la complexification des problèmes associés à l’itinérance nécessitent plus que jamais de mieux comprendre ce phénomène.

Jeu pathologique

Pour identifier les problèmes de jeu, les chercheurs, n’utilisent pas tous la même terminologie. Les termes les plus utilisés sont  « jeu excessif », « jeu pathologique », « jeu compulsif », « jeu abusif ». Plusieurs études ont démontré la présence de dépendances multiples chez les joueurs pathologiques soit à l’alcool, aux drogues et au tabac.

Définition du jeu pathologique en deux grandes tendances
Deux grandes tendances pour définir le jeu pathologique sont observées. La première considère les problèmes liés au jeu comme une pathologie ou un trouble psychologique alors que la seconde présente les problèmes causés par le jeu sur un continuum croissant de sévérité et de durée.
Ce dernier modèle permet une vision globale et évolutive des comportements à l’égard du jeu et des conséquences négatives qu’ils peuvent entraîner. Suivant cette approche, on peut identifier trois types de joueurs, lesquels représentent trois stades de développement des problèmes de jeux :
Le premier type est le joueur récréatif. Il ne rencontre pas vraiment de problème lorsqu’il joue.
Le deuxième type est le joueur problématique. Il vit des épisodes de problèmes liés au jeu ou subit certains impacts négatifs en lien avec ses comportements de jeu, mais sans que cela n’occasionne de graves conséquences.
Le troisième type est celui du joueur pathologique. Ce dernier vit un cumul de problèmes importants causés par une dépendance sévère aux jeux de hasard et d’argent.
Plusieurs études ont démontré la présence de dépendances multiples chez les joueurs pathologiques soit à l’alcool, aux drogues et au tabac.

Violence conjugale

« LA VIOLENCE C’EST PAS TOUJOURS FRAPPANT MAIS ÇA FAIT TOUJOURS MAL »

Sans occulter le fait qu’il existe des hommes victimes de violence conjugale, la plupart du temps, la victime est une femme et l’agresseur, le conjoint actuel ou l’ex-conjoint. Les victimes et les agresseurs n’ont pas de caractéristiques particulières. Certaines victimes sont jeunes, d’autres plus âgées, elles sont riches ou moins riches, instruites ou pas. La plupart des hommes violents envers leur partenaire ne le sont pas à l’extérieur de leur relation. Ils sont souvent de bons collègues de travail et des voisins sympathiques.

La violence conjugale prend plusieurs formes ...

La plupart du temps, la violence faite aux femmes est associée à la violence physique. Pourtant il existe plusieurs autres formes de violence dont la violence psychologique, la violence verbale et la violence sexuelle. Les actes de domination sur le plan économique constituent aussi une forme de violence; par exemple, un conjoint qui contrôle les dépenses et les revenus de sa partenaire sans son accord.

 

Conclusion

Dans cet esprit, il nous semble qu’une mise au point critique s’impose concernant la justification des nombreux et variés cas de figure qui composent l’univers de « ce qui pose problème » aujourd’hui afin de mettre en lumière les déséquilibres, les iniquités et les irrationalités dans la mise en œuvre de l’aide, de la gestion et de la répression de certains phénomènes, situations, comportements et attitudes désignés comme problématiques.


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